Suite de la conférence de presse – La demeure musée Sellier fermée depuis 9 mois

BREF HISTORIQUE

En septembre 2016, comme elle le fait depuis des années, la Maison Sellier accueille en tant que musée, la 10e édition de l’exposition « Trans ’Arts » puis l’exposition de l’association des Peintres de Cogolin. Avant même la clôture de ces manifestations, le maire annonce par voie de presse sa décision personnelle de fermer cet ancien château des seigneurs de Cogolin pour le transformer en hôtel privé, sans avoir consulté au préalable ni la population ni le conseil municipal. Le choix de l’opérateur hôtelier privé est également annoncé par la seule volonté de celui qui se prend pour le nouveau seigneur des lieux, Marc Etienne Lansade.

Le bâtiment est physiquement fermé au début du mois d’octobre 2016.

C’est un premier exemple de la méthode dictatoriale que le maire utilise pour gérer la cité. Il y en aura d’autres.

Dans le silence qui suit cette nouvelle, Place Publique réagit sur le champ. Elle alerte Var-Matin, appelle à venir manifester contre la fermeture de la maison Sellier, sur la place de la mairie, le 16 octobre et à signer la pétition aussitôt mise en ligne et présentée dans les rues de la ville. La manifestation a bien lieu, avec le succès que l’on sait, réunissant les cogolinois de tous bords politiques.

Cela n’empêche malheureusement pas le conseil municipal d’approuver, 4 jours plus tard, la délibération qui lui est soumise par le maire et qui entérine la désaffectation et le déclassement de la maison Sellier. Par cette décision brutale et improvisée le maire de Cogolin et son équipe mettent fin à une période ininterrompue de 35 années pendant lesquelles la Demeure Sellier a fait partie intégrante et active du patrimoine culturel des Cogolinois et ce pour des motifs uniquement commerciaux à ce jour non aboutis et qui risquent de ne jamais voir le jour.

Dans la foulée, les collections du musée sont déménagées et dispersées, sans inventaire, sans protocole, sans contrôle d’un conservateur agrée ni du conseil municipal.

Place Publique ne baisse pas les bras et se bat sur tous les fronts : elle écrit au Ministère de la Culture, à la Direction Régionale des Affaires Culturelles, à l’ICOM (International Council of Museums). Le 8 décembre 2016, elle dépose un recours au tribunal Administratif contre la délibération du Conseil municipal en date du 20 octobre relative à la désaffectation et au déclassement de la Maison Sellier.

L’opérateur hôtelier privé choisi par le maire commence à s’inquiéter devant le tournure des événements, il téléphone au président de Place Publique et face à la détermination affichée par ce dernier, il lui annonce qu’il renonce à donner suite à son projet.

TRAVAUX ATTRIBUES A UNE SOCIETE QUI N’EXISTE PAS

Place Publique n’a pas le temps de se réjouir que déjà le maire fait adopter une autre délibération le 15 décembre 2016 autorisant une nouvelle société hôtelière ‘La Maison SELLIER’, représentée par une certaine Madame PICARD domiciliée maison Sellier ou toute autre société par substitution, à faire des travaux dans l’ancien musée.

Place Publique réagit aussitôt en faisant une demande de recours gracieux au maire et le même jour, une demande de déféré préfectoral contre cette délibération qui est entachée d’illégalité puisque la société « Maison Sellier » n’existe pas !

Pendant ce temps, le nombre de signataires de la pétition augmente. Arrivée à 1000, Place Publique prend rendez-vous avec le maire pour lui remettre les 1000 signatures (exactement 1029), le 10 mars 2017.

OU EN EST-ON AUJOURD’HUI?

Dans une vidéo calomnieuse et sur le magazine Terre Mer, monsieur le maire avec l’aplomb qui le caractérise, ment effrontément sur le nombre, l’origine et l’âge des signataires, minimisant ainsi les résultats de la pétition et taxant donc Place Publique de mauvaise foi. Après une vérification minutieuse des signataires et soucieuse de rétablir la vérité, Place Publique demande un droit de réponse dans le magazine communal, tout en sachant pertinemment qu’une des spécialités de Marc Etienne Lansade, c’est de répondre au droit de réponse comme si communiquer en dernier était gage de vérité.

Par contre, comme il n’a pas répondu à notre recours gracieux, nous allons maintenant attaquer la délibération autorisant les travaux à la maison Sellier au Tribunal Administratif. Je pense qu’à ce jour et sur ce dossier, Place publique est la seule association qui ne se soit pas contentée de faire simplement des recours gracieux mais qui a engagé tous ses moyens humains et financiers pour tenter de faire barrage au maire et pourtant, nous allons le voir, ce n’est qu’un des multiples dossiers pour lesquels Place Publique se bat tant la gestion de cette municipalité, ou plutôt celle de Marc Etienne Lansade, est calamiteuse !

Une conférence en plein air faute de salle gratuite (suite)

Nous sommes obligés de tenir cette conférence en plein air en raison de la décision du maire de faire payer la mise à disposition des salles municipales aux associations qui ne lui plaisent pas, dont Place Publique fait bien sûr parti, tout en la maintenant gratuite pour d’autres dans le plus grand arbitraire. Cela au prix de contorsions et de torsions du cou de la légalité, puisque il en est à trois délibérations, toutes contestées auprès du Tribunal Administratif par Place Publique pour discrimination à l’encontre de certaines associations.

La première de septembre 2016 avait décidé de manière brutale et sans la moindre concertation d’accorder la gratuité aux seules associations sportives ou culturelles de Cogolin. En octobre 2016, il répare l’oubli de quelques mécontents en rajoutant aux deux premières catégories les associations caritatives ou patriotiques.

Parallèlement aux requêtes engagées auprès du Tribunal Administratif, Place Publique refuse de payer les salles en raison d’une vocation culturelle affirmée par ses statuts. Cela crée des difficultés d’application qui obligent le maire à prendre en mars 2017 une troisième délibération réservant la gratuité « aux seules associations cogolinoises à vocation strictement patriotique ou caritative ». Sans comprendre pourquoi uniquement celles-là, on se dit que cela crée un peu moins d’iniquité en discriminant un plus grand nombre d’associations. Mais c’était se tromper sur les véritables intentions du maire qui dans le dernier magazine municipal précise que cette délibération ne concerne que les utilisations occasionnelles et non conventionnées en énumérant une liste de 36 associations auxquelles se rajoutent les associations sportives qui continuent de bénéficier d’un accès gratuit aux salles. Mais toujours pas Place Publique. Le seul problème, c’est que cette clause n’est pas applicable puisque elle n’est pas inscrite dans la délibération du 30 mars. Il justifie sa décision en affirmant que la participation demandée ne sert qu’à couvrir les frais occasionnés par l’utilisation des salles municipales. Mais alors pourquoi les associations qui les utilisent le plus souvent, et génèrent donc le plus de frais, ne payent pas, alors que celles qui les utilisent occasionnellement devraient payer? Cela constitue une atteinte grave au principe d’égalité devant l’impôt et les charges publiques.

Enfin, pour ceux qui douteraient encore de l’arbitraire du Maire, nous savons qu’il répond à certaines associations qui font des demandes de salles occasionnelles que pour elles cela sera gratuit, par le fait du prince.

Oui, c’est bien à la liberté de certaines associations que le maire s’attaque, et plus particulièrement à celle de Place Publique pour la faire taire.

Loin de « clore ce débat stérile », comme il le déclare dans la revue municipale, nous attendons avec impatience sa quatrième délibération pour la déférer à son tour au Tribunal Administratif.

Quant au lieu où nous nous trouvons, il est finalement tout à fait adapté à la circonstance puisqu’il nous offre une vue panoramique sur les espaces visés par l’appétit immobilier du tandem Lansade-Smadja. Il est également à deux pas de la demeure Sellier, désespérément fermée depuis 9 mois.

A MON AMI HERVE GHESQUIERE

Pause pendant le tournage du film « L’eau Partagée » à Markoye (Burkina Faso-2001)

C’est en 2001 que nos chemins, nos pistes devrais-je dire, se sont croisés sur les terres déjà brûlées par le changement climatique du Sahel Burkinabé. Avec Michel Anglade, complice de tes reportages sur les théâtres de nombreux conflits, tu avais accepté de tourner pour l’UNESCO un film sur les actions d’éducation et de coopération de « l’Eau Partagée » conduites par le syndicat des eaux que je dirigeais à l’époque.

Derrière des apparences robustes, j’ai appris à connaitre l’homme sensible, attentif aux autres, doté d’un humour décapant, révolté par cette misère dont se nourrissent les terroristes, les nationalistes et l’extrême droite. Je salue ici le courage avec lequel tu as couvert la plupart des conflits de notre monde tourmenté : ex-Yougoslavie, Cambodge, Rwanda, Irlande du Nord, Irak… jusqu’à ce lointain Afghanistan où tu as été pris en otage pendant 547 jours par les Talibans.

Tu as mené ton dernier combat contre la maladie avec le même courage, le même espoir. Ainsi, malgré et contre elle, avais-tu répondu favorablement à ma demande de venir présenter ton dernier ouvrage (1) lors d’une prochaine conférence de Place Publique.

Tu es parti avant, à la rencontre d’une paix pour laquelle tu t’es battu tout au long de ta vie.

Je n’oublierai jamais ton exemple, je ne t’oublierai jamais.

Francis José-Maria

(1) « LA BLESSURE – Sarajevo, la vie après la guerre » Editions Don Quichotte

Les raisons d’une conférence de presse en plein air

Nous avons souhaité organiser cette conférence de presse à un moment décisif du mandat du maire Front National de Cogolin. En effet, après trois années de gestion autoritaire et opaque par le cabinet restreint de Levallois Perret composé de MM. Lansade et Smadja, leur bilan est désespérément vide : en dehors du recrutement massif de policiers, de la création de deux nouveaux postes de police et d’une débauche d’animations et de communication, aucune réalisation, aucun équipement nouveau n’a vu le jour. Oh pardon, j’allais oublier le remplacement de la fontaine dangereuse sur la place des boules ! Hormis quelques affaires entre amis, dont certaines parties en fumée, la plupart des projets annoncés à grand bruit ont capoté, certains sont en panne ou en grande difficulté.
Et pourtant l’endettement de la commune s’est alourdi de plus de 2 millions d’euros et il manque 7 millions d’euros de recettes pour équilibrer le budget 2017. Ce qui n’a pas empêché le maire d’annoncer une baisse des taux d’imposition locale à la veille de l’élection présidentielle.
Les véritables raisons de cette situation dangereuse, il faut les rechercher dans les motivations et les méthodes du maire : absence de projet d’intérêt général remplacé par la spéculation immobilière ; prise de décision personnelle et brutale; absence totale d’études préalables ; absence de concertation avec la population et d’information des conseillers municipaux ; muselage des oppositions…
Les cogolinois ne savent pas ce que leur coûtent ces projets et encore moins ce qu’ils leur rapporteront. Ils sont pourtant à l’origine des ressources et sont les vrais propriétaires des biens communaux, mais ils ne sont jamais informés des sommes engagées par la municipalité qui restent souvent vagues quand il s’agit de présenter les études financières qui aideraient à juger de leur viabilité.

Le Maire devrait être le rassembleur de tous les habitants et toutes les associations qui manifestent un intérêt réel pour l’essor de leur ville et refusent de la voir meurtrie. A l’opposé, Marc Etienne Lansade les traite avec mépris sans prendre en considération leurs besoins. Il les dépossède méthodiquement de leurs biens : terrains, musée, moyens financiers… Il cherche à faire passer la plupart de ses projets en force, mais à la moindre contestation il recule. Quant à la concertation et aux référendums promis pendant sa campagne, ils ont été définitivement rangés au placard des oublis.

Ce sont toutes ces dérives que Place Publique dénonce et combat depuis 3 ans pour les faire cesser avant qu’elles ne provoquent des dommages irréversibles et ne laissent au cogolinois un lourd tribut financier ainsi qu’un embarrassant héritage immobilier boiteux et encombrant pour de longues années.

Parmi eux, nous allons vous détailler les principaux dossiers et projets d’actualité que nous espérons ne pas voir aboutir ou faire annuler.

Deuxième tour des législatives: Place Publique appelle à voter pour Sereine Mauborgne

Le taux d’abstention au premier tour des Législatives est inquiétant pour notre démocratie.
Dimanche prochain, le choix est clair entre les deux candidats restant en lice.
Fidèle à son combat républicain contre les dangers et les dérives du Front National, Place Publique appelle ses adhérents et sympathisants, dans la diversité de leurs sensibilités, à voter pour la candidate d’En Marche, Sereine Mauborgne, au second tour des élections législatives.

PLACE PUBLIQUE

AUX VICTIMES DU TERRORISME DU MONDE ENTIER

Kaboul, Afghanistan, 31 Mai, 150 morts, 400 blessés, 3 Juin, 7 morts, 119 blessés, Téhéran, Iran, 7 Juin, 12 morts, 40 blessés. Et toujours des massacres en Irak et Syrie. Les victimes innocentes de l’État Islamique sont bien plus nombreuses au Moyen-Orient que dans les pays occidentaux. Nous compatissons avec les victimes de Manchester, Londres, Paris et Nice ; c’est notre devoir d’humains. C’est au nom de ce même devoir que nous compatissons aussi avec ces victimes lointaines, quelles que soient leurs nationalités et leurs religions. A l’heure où des dirigeants, ici ou ailleurs, pointent du doigt la communauté musulmane dans un grand n’importe quoi d’amalgame raciste, souvenons-nous aussi des centaines et milliers de victimes musulmanes, qui, plus loin de nos frontières et trop loin de nos cœurs, périssent aussi sous les coups d’une poignée de déséquilibrés fanatisés qui se drapent dans de faux arguments religieux pour semer la mort partout dans le monde.

Nous sommes londoniens

Place Publique exprime son entière solidarité avec les londoniens et sa sincère compassion aux familles et aux proches des victimes. Elle réaffirme sa détermination à ne pas céder à la peur que veulent propager de lâches assassins dépourvus de toute humanité.

PETITION DEMEURE SELLIER: PLACE PUBLIQUE DEMANDE UN DROIT DE RÉPONSE AUX PROPOS DU MAIRE

Dans la série « TERRE-MER… ET VENT, BEAUCOUP DE VENT », Place Publique dément avec la plus grande fermeté les propos mensongers tenus par le Maire en page 18 du magazine municipal pour dénigrer la pétition contre sa décision de fermer la demeure-musée Sellier et la transformer en hôtel privé. Place Publique a demandé au Maire de publier un droit de réponse dont voici le texte:

« CE SONT BIEN 530 COGOLINOIS QUI ONT SIGNE LA PETITION CONTRE LA FERMETURE DE LA DEMEURE-MUSEE SELLIER

Dans le dernier numéro du magazine Terre-Mer, le maire a affirmé que « 1000 signataires venant du monde entier » auraient signé la pétition lancée par Place Publique, parmi lesquels « 253 Cogolinois » seulement. Après une vidéo dans laquelle il avait déclaré que des « mineurs » l’auraient également signée, cela fait trois mensonges que Place Publique dément avec la plus grande fermeté.
Un contrôle méticuleux des noms de chacun des signataires confirme que ce sont bien 530 résidents Cogolinois qui ont signé cette pétition sur l’ensemble des 1 029 signatures recueillies. Parmi elles le nom d’aucun mineur n’a été trouvé.
Les autres signataires se répartissent entre 162 habitants des autres communes du golfe, 112 du reste du Var et 191 d’autres départements français. Quant aux soi-disant « signatures venant du monde entier », seulement 34 personnes ont signé la pétition par internet depuis l’étranger ou en terre cogolinoise pour certains de nos amis allemands, ce qui représente 3 % de l’ensemble des signataires.
Les signatures des non-résidents proviennent de parents, amis et vacanciers qui eux sont attachés à la culture et au patrimoine cogolinois !
N’en déplaise à Monsieur Lansade, un musée a un rayonnement plus large que les frontières de sa commune. Un rayonnement qu’il a éteint en fermant brutalement la demeure Sellier.
Loin d’être un échec, c’est le succès de cette pétition qui a fait reculer le premier opérateur hôtelier choisi par le fait du prince. S’il y a échec, c’est bien celui du projet du maire qui après sa décision de fermeture autoritaire a transformé un magnifique lieu historique de culture en bâtiment désespérément vide et abandonné depuis neuf longs mois.
Dans la même interview le maire évoque un « permis en cours » dont on se demande à qui il pourrait être accordé, puisque la société « Maison Sellier » qu’il a autorisée à réaliser des travaux n’a toujours pas d’existence légale à ce jour. C’est pour cette raison que Place Publique a engagé un premier recours gracieux contre cette décision et s’apprête à introduire un recours contentieux auprès du Tribunal Administratif.
PLACE PUBLIQUE »

TERRE-MER… ET VENT, BEAUCOUP DE VENT

LE MAGAZINE MUNICIPAL PASSE AU SCANNER DE « DESINTOX » DE PLACE PUBLIQUE

En 44 pages de papier glacé et de débauche photographique, la dernière livraison de la revue municipale est à l’image de la politique conduite par Marc Etienne Lansade : beaucoup de vernis, beaucoup de « paraitre », mais qui ont de plus en plus de mal à masquer le vide sidéral de réalisations concrètes au bout de trois années de mandat.
Avec toujours le même aplomb, le maire poursuit son grand numéro d’illusionniste consistant à faire passer ses désirs pour des réalités, ses projets pour des réalisations, en bref les vessies pour des lanternes.
Tout cela prêterait à sourire si ne se profilait pas en arrière-plan un désastre financier annoncé avec une baisse d’impôts et un budget financés par des recettes qui n’existent pas ! (voir notre article sur les finances communales plus loin).
Place Publique a donc décidé de tourner une à une les pages de cette luxueuse revue de propagande pour analyser le contenu de ses articles et rétablir des vérités très souvent malmenées. Non seulement dans le but d’aider les Cogolinois à comprendre la situation réelle de leur commune, mais aussi pour essayer d’empêcher Marc Etienne Lansade de poursuivre les dégâts qu’il a commencé à faire à notre ville, avant qu’il ne soit trop tard.

Nous entamons logiquement notre lecture par la une de couverture.

UNE DE COUVERTURE : UNE EQUIPE DANS LA TOURMENTE

Ah la belle photo d’équipe que voilà ! Souriante, rassurante ! Elle nous ferait presque oublier les turbulences qui ont ébranlé ce groupe municipal avec huit démissions et deux passages dans l’opposition en moins de trois ans.
Mais le véritable scoop de cette une, c’est qu’elle nous dévoile le visage de l’élu fantôme, Gaëtan Muller. Enfin presque, car ce dernier n’a rien trouvé de mieux que de chausser une grosse paire de lunettes noires pour la photo. Est-ce pour continuer à préserver une part d’anonymat et de mystère ? Ultime recours pour remplacer le tout dernier démissionnaire, il a rejoint le conseil municipal en novembre 2016 et a réussi l’exploit de ne jamais y mettre les pieds depuis. Un bel exemple d’engagement pour la ville, comme il ose le déclarer dans l’interview que nous décrypterons plus loin !
Quant au Maire, il a beau prendre la pose devant ce qu’il lui reste d’équipage, il ne parvient pas à se défaire de son image de capitaine d’un bateau ivre. Car depuis qu’il a décidé de se présenter aux élections législatives, en reniant une de ses promesses – ce n’est pas la première fois – et en évinçant son adjointe à l’urbanisme, il a aggravé les dissensions au sein de son équipe. Il parait que le clan familial de la candidate éjectée n’a pas du tout apprécié la méthode « pousses-toi de là que je m’y mette » ! Avec cette question lancinante : est-ce parce qu’il n’a pas pu prendre l’ascenseur présidentiel espéré que Marc Etienne Lansade cherche une issue de secours dans cette candidature aux élections législatives ?
Une chose est sure, en devenant le suppléant d’un autre candidat masculin, il a rompu la règle de la parité homme-femme et va soumettre son parti à l’amende.
Nous l’invitons à ne pas oubli