Liberté Défigurée, Liberté Supprimée

La place de la république a échappé à la défiguration avec l’abandon du projet de parking souterrain qui prévoyait la construction d’un haut mur sur une partie de son périmètre. La place de la liberté, toute proche, n’a malheureusement pas résisté au béton qui la ronge avec la construction d’un local électrique. Comme un malheur n’arrive jamais seul un second est implanté à la sortie de la rue du 11 novembre en contradiction avec les règles de sécurité routière.

Après la fermeture de la demeure musée Sellier, laissée à l’abandon depuis plus de deux ans, le vieux village subit un nouveau coup dur avec l’édification de ces deux nouvelles verrues en béton qui viennent le défigurer.

Transformateur Enedis, coté Mairie
Transformateur Enedis, Place de la liberté
Dommage pour la fresque, Place de la Liberté

A la contestation unanime des riverains, le maire répond que végétation et peintures en trompe l’œil masqueront le béton… Même s’il est un spécialiste de la tromperie, on doute que ce maquillage suffira à faire disparaître l’impact visuel de ces bâtiments hideux sur l’harmonie des vieux quartiers.

Dans un autre lieu, le jardin du quartier « Plein Soleil », les enfants de Cogolin avaient planté en 1989 un « arbre de la Liberté » pour fêter le bicentenaire de la Révolution Française. Celui-ci vient de mourir, faute de soins et d’entretien, laissé à l’abandon comme l’ensemble du quartier.

Arbre de la Liberté, Plein Soleil

Au lieu d’en planter un nouveau, la municipalité l’a fait arracher et a ôté la plaque commémorative, comme pour faire disparaître toute trace de ce symbole vivant de nos valeurs républicaines. Ce geste brutal est irrespectueux de notre histoire locale à laquelle une nouvelle page est enlevée.

Terrain de jeux, Plein Soleil
Piste d’Athlétisme, Plein Soleil

Nous retrouvons le même état d’abandon au square Mansui, lieu de souvenir qui porte le nom d’un enfant de Cogolin mort au combat.

Square Mansui
Square Mansui
Square Mansui
Chemin de Radasse
Chemin de Radasse

On ne peut voir là que mépris de l’histoire locale,de l’environnement et de la population. Nous continuerons à nous battre pour préserver et défendre notre patrimoine COGOLINOIS

4000 ans d’histoire dans les Maures

Conférence de M André Falconnet
Mardi 15 Mai, à 18H00 à la Bastide Pisan, Cogolin
ENTREE LIBRE

L’association archéologique Aristide Fabre a été créée il y a 20 ans à Ste Maxime, où se trouve son siège et depuis rayonne dans le massif des Maures et le Centre Var. Elle compte 160 membres.

Elle a conduit plusieurs fouilles, en particulier: vivier romain des Sardinaux, à Ste Maxime, oppidum du Meinier de l’ Age du Fer à Ste Maxime , site romain de la Castellane à Grimaud, dé- gagement et valorisation de la villa romaine de Pardigon à la Croix Valmer et a participé aux fouilles de Cavalaire, village de pêcheurs romain, de Forum Voconii, agglomération romaine au Cannet des Maures et sa nécropole le long de la voie Aurélienne, restauration de la cave romaine des Toulons à Rians, la 2ème plus grande installation viticole du monde romain, etc et la restauration actuelle de la chapelle de Pardigon sur la commune de Cavalaire. Elle organise tous les mois conférences dans le golfe, visites archéologiques, prospections, et 2 à 3 expositions par an dans les différentes communes. Elle a participé aux Arcs à la création d’un circuit culturel, en colline, en réhabilitant un four à poix, en dégagent un dolmen, un site de 9 menhirs et un site romain, submergés de broussailles, etc

C’est fort de cette expérience, que la conférence se propose de parcourir cette période pour illustrer la vie des hommes qui ont progressivement habité, cultivé ce massif et même avant, pendant la période glaciaire il y a 30 000 ans : les hommes préhistoriques d’alors allaient à pied aux îles du Levant, en parcourant la steppe. Puis la vie des hommes de l’Age du Fer au sommet de nos collines, dans leurs oppida, des Celto ligures commerçant avec Marseille la grecque, avant l’arrivée des Romains qui bouleversent le mode de vie, introduisent la vigne et l’olivier, créent des routes terrestres et maritimes, des villas Enfin au Moyen Age l’influence des grandes abbayes sur des terres ravagées par les invasions, les pillages et les destructions. Toute cette histoire est inscrite dans nos terres, nos forêts, qui protègent ces vies passées comme une mère le fait en recouvrant son enfant pour le protéger

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[embedyt] https://www.youtube.com/watch?v=j54-y6nWw8M[/embedyt]

Cogolin: ville à vendre, le replay de l’émission et la suppression de la subvention attendue

Pour ceux qui n’ont pas pu voir le documentaire: « Cogolin, ville à vendre », Place Publique vous donne la possibilité de le visionner en cliquant sur le lien ci-dessous. Il dure environ 52 min.

https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/emissions/qui-sommes-nous-2

Quelques jours avant sa diffusion, le producteur et journaliste Denis Robert a appris que la Région dirigée par Renaud Muselier a coupé le financement du documentaire alors que le comité d’experts qui instruit les demandes d’aide à la création avait validé le projet en novembre dernier.

En cliquant sur le lien ci-dessous, vous trouverez une article du Monde qui relate l’affaire.
https://www.lemonde.fr/politique/article/2018/05/07/le-documentaire-politique-produit-par-denis-robert-perd-ses-subventions_5295393_823448.html

Le Monde du 8 mai 2018

L’article de Var-Matin du même jour, sur le même sujet. (cliquable)

Le FN au bout du Crayon au Cannet

Place Publique, en la personne de son président Francis José-Maria, était au Cannet des Maures, le 7 avril 2018, pour le vernissage de l’exposition « Le FN au bout du crayon » organisée conjointement par Alexandre Faure, président du Crayon et Roger Depierre, président de l’association citoyenne Ensemble pour le Luc avec entre autres, Marie-Jo de Azevedo, présidente du Forum Républicain de Fréjus, Sereine Mauborgne, députée de la 4ème circonscription du Var, Pascal Brun, représentant de la Coordination Varoise Contre l’Extrême droite, Pascal Caffa dessinateur humoriste et Président des Rencontres crayonnées pour la liberté d’expression à Carpentras, avec la chorale de la Redonne orchestrée par David Bardy,…

HOMMAGE AUX VICTIMES DES ATTENTATS DE L’AUDE

Encore une fois, l’horreur a frappé dans l’Aude et devant ce nouvel attentat, se manifestent toujours, la même sidération, la même douleur et la même incompréhension.

Le collectif citoyen de Place Publique a rendu hommage aux victimes en étant présent sur le parvis de la mairie de Cogolin lundi à 18h. Des fleurs ont également été déposées la veille par un de ses représentants devant la gendarmerie de Trèbes en hommage aux victimes. Place Publique s’associe aux chagrins des familles et salue le courage du Lieutenant-Colonel Arnaud Beltrame qui a sauvé des vies en sacrifiant la sienne.

Plus que jamais, face à la barbarie, notre collectif continue et continuera à défendre les valeurs de la démocratie.

EAU ET CHANGEMENT CLIMATIQUE – Quelles réponses locales à une problématique globale?

Vendredi 23 mars 2018 à 18H00 Bastide Pisan de Cogolin
Rencontre débat animée par
Francis JOSE-MARIA

Vice-président
de l’association l’Eau Partagée
Membre de l’Académie de l’Eau et du Comité Français des Barrages et Réservoirs,
Ancien directeur du Syndicat des Eaux de la Corniche des Maures, Président de Place Publique

L’alternance de longues périodes de sécheresses et d’épisodes pluvieux violents est l’une des manifestations de l’emballement planétaire du climat. Quelles réponses locales un territoire comme le nôtre peut apporter pour s’adapter aux conséquences d’un réchauffement climatique global ?

Animateur de la longue expérience de gestion, d’éducation et de coopération de l’eau partagée, Francis José-Maria en présente aujourd’hui les principaux enseignements. Comment le projet a réussi à mettre en relation le territoire de la Corniche des Maures avec une région sahélienne du Burkina Faso, menacée de disparition par l’avancée du désert. Comment les actions engagées s’ancrent dans les réalités vivantes de chacun des territoires tout en s’ouvrant au monde. Comment les outils et méthodes utilisées permettent de prendre en compte les représentations des différents publics pour leur permettre de devenir les acteurs de leurs apprentissages et des solutions techniques mises en place. Comment la découverte des interrelations fortes entre les êtres et les choses favorise la compréhension d’un monde complexe en développant un outil de pensée lui aussi complexe…

L’expérience vécue permet à chacun de mesurer combien les solidarités locales et planétaires sont nécessaires pour rendre accessible à tous une eau de plus en plus inégalement répartie. Car la crise que nous traversons ne fera que s’aggraver si les inégalités continuent de se creuser dans la répartition des richesses. L’eau est la plus précieuse d’entre elles.

Cette expérience montre que si le changement climatique nécessite la recherche de réponses globales (COOP 21…), il passe inévitablement par la résilience de chacun des territoires impactés. Non seulement pour leur permettre de s’adapter à ses effets immédiats, mais aussi pour y faire émerger les solutions du futur.

L’expérience de l’eau partagée a été présentée lors de nombreuses conférences nationales et internationales : Forum Mondial de l’Eau (Kyoto-Japon 2003 et Marseille 2012), rencontres nationales de l’eau (Aix les Bains 2007), Conférence internationale sur la gestion de la sécheresse (Saragosse 2008), Congrès Mondial d’Education à l’environnement (Montréal 2009), Comité International des Grands Barrages (Japon 2012), Colloque International d’Education (Université de Clermont Ferrand 2016)

Elle a reçu les soutiens  de  plusieurs personnalités  dont Pierre Rabhi, Philippe Meirieu, Eric Orsena, Edgar Morin, et des institutions suivantes : l’Agence de l’Eau, la Région, l’Unesco, l’Académie de l’Eau,  les Réserves de biosphère, FNE PACA

Elle a également reçu le label de la Décennie des Nations Unies pour l’Education en vue du développement durable, le prix de l’eau et de l’éducation du Symposium International de l’Eau de Cannes (2011) et le prix du festival international  « Eau et Cinéma » pour son film « L’enfant et la mare » (2012).

22 mars 2018 – Journée Mondiale De L’Eau

L’humanité a besoin de l’eau
Une goutte d’eau est flexible. Une goutte d’eau est puissante. Rien n’est plus nécessaire qu’une goutte d’eau.

L’eau est au cœur du développement durable. Les ressources en eau, ainsi que la gamme de services qu’elles peuvent rendre, contribuent à la réduction de la pauvreté, à la croissance économique et à la sauvegarde de l’environnement. De la nourriture et la sécurité énergétique à la santé humaine et environnementale, l’eau contribue à l’amélioration du bien-être social et à une croissance équitable, affectant les moyens de subsistance de milliards d’individus.

Thème 2018 – « L’eau : la réponse est dans la nature »

Les dommages environnementaux, associés aux changements climatiques, sont à l’origine des crises liées à l’eau que nous observons dans le monde entier. Les inondations, la sécheresse et la pollution de l’eau sont aggravées par la dégradation de la végétation, des sols, des rivières et des lacs.

Lorsque nous négligeons nos écosystèmes, il est plus difficile de fournir à tous l’eau dont nous avons besoin pour survivre et prospérer.
Les solutions basées sur la nature ont le potentiel de résoudre nombre de nos problèmes d’eau. Planter de nouvelles forêts, reconnecter les rivières aux plaines inondables et restaurer les zones humides permettra de rééquilibrer le cycle de l’eau et d’améliorer la santé humaine et les moyens de subsistance.

L’objectif de développement durable n°6 – Garantir l’accès de tous à l’eau et à l’assainissement et assurer une gestion durable des ressources en eau – a notamment pour cible de réduire de moitié la proportion d’eaux usées non traitées et d’augmenter considérablement à l’échelle mondiale le recyclage
et la réutilisation sans danger de l’eau.

La Journée mondiale de l’eau est coordonnée par ONU-Eau (le mécanisme de coordination inter-institutions des Nations Unies pour toutes les questions liées à l’eau douce) en collaboration avec les gouvernements et d’autres partenaires.

http://www.un.org/fr/events/waterday/

Le port des Marines : une nouvelle victoire de Place Publique, un nouveau revers du maire

Nous venons d’apprendre que le Tribunal Administratif a suspendu l’exécution du marché de commercialisation des places du port des Marines de Cogolin attribué dans des conditions invraisemblables à la société Yin et Yang spécialisée jusque-là dans la vente de chaussures et de prêt à porter !

Place Publique a été la seule et la première à dénoncer ce marché auprès des services de l’État. Elle   est aussi la seule association à avoir déposé plainte contre ce marché à côté de l’autre plainte déposée par le candidat évincé bien que plus compétitif.

Dès février 2017, Place Publique avait déposé un recours contre la délibération du conseil municipal de la honte du 15 décembre 2016 donnant les pleins pouvoirs au maire pour mener les opérations de la fin anticipée de la concession du port.

Encore une fois, nos multiples interventions sur ce dossier, dont vous retrouverez l’historique dans la pièce jointe ont porté leurs fruits. Loin des querelles intestines et de l’attitude méprisable des élus de la majorité et de leur leader contesté, Place Publique soucieuse de l’intérêt général de ses concitoyens garde le cap et continue de se battre pour le bien de notre cité.

Port des marines de cogolin

Migrants: entre mythes et réalités

Place Publique a le plaisir de vous inviter à participer à sa prochaine rencontre qui aura lieu le
lundi 19 février 2018 à 18H30 à la Bastide Pisan de Cogolin
sur thème
“ Migrants: entre mythes et réalités”.
Elle sera animée par Dominique Sopo, Président de SOS Racisme, qui essayera de répondre aux nombreuses questions que vous vous posez  sur l’immigration.   Quelle est la réalité de ce phénomène souvent réduit à un seul « problème »? Qui sont les migrants? La France doit-elle les accueillir davantage?…
Dans notre ville où la municipalité a approuvé une charte “ma commune sans migrants”, cette rencontre cherchera à éclairer un débat que certains cherchent volontairement à obscurcir.
Nous vous invitons à diffuser largement cette invitation autour de vous et comptons sur votre participation.

Les rencontres de Place Publique, Des moments d’échanges et de partage des savoirs – bulletin d’information n4

 

 

Malgré la volonté du Maire de lui faire payer les salles municipales, Place Publique a continué d’organiser ses rencontres conviviales sur des thèmes très variés :

De 1851 à nos jours, histoire et patrimoine du Var républicain » par Jean-Marie Guillon, professeur émérite en histoire contemporaine à l’Université Aix -Marseille, le mardi 29 novembre 2016
http://www.placepubliquecogolin.fr/article/histoire-du-var-republicain-retour-sur-la-conference-passionnante-de-jean-marie-guillon.html

– « Pour l’exemple », récit imaginaire d’un poilu, pièce jouée le 26 février 2017 au Lézard, de et avec Félix Chabaud accompagné de Christiane Ildevert et Renat Sette.
http://www.placepubliquecogolin.fr/article/une-piece-de-theatre-a-ne-pas-manquer.html

– Conférence débat sur la permaculture « Des plantes saines dans un sol sain » par Edo Malloggi retraité-jardinier, sociétaire et administrateur de la Société Centrale d’Agriculture, Horticulture et d’Acclimatation de Nice, le samedi 11 mars matin avec travaux pratiques l’après-midi dans les jardins partagés de Grimaud
http://www.placepubliquecogolin.fr/article/journee-permaculture-le-11-mars-a-grimaud.html

– Vernissage de l’exposition “le FN au bout du crayon” à Cogolin, le samedi 18 mars, puis poursuite de l’exposition à Ramatuelle pendant 1 semaine au mois d’avril
http://www.placepubliquecogolin.fr/article/exposition-le-fn-au-bout-du-crayon-un-vent-de-liberte-a-souffle-sur-cogolin.html

Conférence débat sur le maraîchage, le 30 Septembre 2017 avec découverte d’une exploitation en maraîchage et d’un projet d’agroforesterie, découverte d’une AMAP, par Yann agriculteur à Cogolin
http://www.placepubliquecogolin.fr/article/conference-debat-sur-le-maraichage.html

La place d’un musée dans la politique de la ville : conférence de Mme Malika Dorbani conservatrice et directrice du Musée National des Beaux-Arts d’Alger de 1977 à 1994, vendredi 6 Octobre 2017.
http://www.placepubliquecogolin.fr/article/la-place-dun-musee-dans-la-politique-de-la-ville.html

Fidèle à ce qu’elle a annoncé à sa création, il y a 3 ans, Place Publique s’efforce de créer des espaces ouverts de rencontres, d’échanges, d’informations et de dialogues respectueux de la diversité des Cogolinois.
Elle souhaite ainsi contribuer au développement de la vie associative, sociale et culturelle de Cogolin pour y vivre bien tous ensemble.

Si vous souhaitez donner votre avis sur notre association, n’hésitez pas à remplir le questionnaire suivant : http://www.placepubliquecogolin.fr/article/en-quelques-clics-repondez-au-questionnaire.html

La mise à disposition des salles communales redevient gratuite, Merci Place Publique ! – bulletin d’information n4

Il n’aura pas fallu moins de 4 délibérations du Conseil Municipal et 3 recours de Place Publique auprès du Tribunal Administratif pour que toutes les associations cogolinoises puissent à nouveau bénéficier de la gratuité d’occupation des salles municipales.

Que d’argent et de temps perdu pour rien, puisque on est revenu à l’exacte situation de départ ! Pratiquement un an à se battre pour Place Publique, à écrire au maire, au Trésor Public, à rédiger des mémoires en attaque et en défense, à alerter les médias, les services de l’état juste pour faire reconnaître l’illégalité des délibérations prises en Conseil Municipal, l’injustice du procédé qui consistait à traiter de façon discriminatoire les différentes associations cogolinoises, faisant payer la mise à disposition des salles à celles qui ne plaisaient pas à Monsieur Lansade, dans le plus grand arbitraire, portant ainsi atteinte au principe d’égalité devant l’impôt et les charges publiques. Le fait du prince !

Malgré sa reculade, le maire a continué de s’acharner contre Place Publique en lui réclamant le paiement des salles pour une occupation du 29 novembre 2016, avec la très intéressante rencontre/débat animée par Jean Marc Guillon sur l’histoire du Var républicain. Il a remis ça pour une réservation sans suite destinée à une assemblée générale qui s’est finalement tenue dans une commune voisine.

Place Publique a une nouvelle fois contesté ces demandes de paiement devant le Tribunal Administratif. Une nouvelle fois M. Lansade a reculé et n’a pas réussi à nous faire taire par des mesures qui constituent une atteinte grave à la liberté d’expression des associations.

Si vous souhaitez donner votre avis sur notre association, n’hésitez pas à remplir le questionnaire suivant : http://www.placepubliquecogolin.fr/article/en-quelques-clics-repondez-au-questionnaire.html