Atteinte à la liberté d’expression et intimidation de l’opposition lors du dernier conseil municipal

Le conseil municipal du 21 juillet dernier a été particulièrement houleux, comme le rapporte l’article de Var Matin ci-dessous.Article VM 21-07-2021

Cela a commencé par le refus du maire d’accorder la parole à Mireille Escarrat, leader de l’opposition, qui lui avait demandé de f        aire une déclaration à propos des récentes mises en examen du maire et de plusieurs de ses proches. Elle a malgré tout voulu la lire, mais dans un brouhaha qui l’a rendue inaudible.

Qu’à cela ne tienne, à l’issue de l’unique question à l’ordre du jour contestée par  l’opposition  (1), Mireille Escarrat a pu poser ses questions écrites, en demandant notamment au maire s’il ne serait pas souhaitable qu’il se mette en retrait de ses fonctions pendant la période d’instruction. Celui-ci a rejeté cette proposition avec dédain et, dans le même temps a remercié une de ses élues de quitter la séance pendant la lecture des questions écrites.

Mais ce que l’article de presse ne raconte pas, ses journalistes étaient déjà partis, c’est ce qui s’est passé aussitôt après que le maire ait levé la séance. Plusieurs élus de la majorité se sont dirigés vers Mireille Escarrat avec l’intention manifeste de l’intimider. L’une l’a accusée de « vouloir couper la tête du maire », un autre s’est approchée très près d’elle de manière menaçante, un troisième s’est violemment adressé à l’élu de l’opposition Philippe Chilard, le traitant d’imbécile et  menaçant de le gifler dans un tutoiement irrespectueux. Il a fallu que le maire lui-même prenne cet élu par les épaules et le fasse reculer en lui demandant de se calmer.

Décidément, monsieur Lansade a beau déclarer changer d’étiquette au gré des vents politiques tournants, sa conception de la liberté d’expression ne varie pas, elle. Souvenons-nous du conseil municipal honteux où il avait fait occuper la salle par ses soutiens extérieurs pour empêcher les Cogolinois d’y assister. De l’autre où il a fait retirer le micro des mains d’un élu d’opposition par un policier municipal. De celui où il a fait expulser un  Cogolinois opposé à un de ses projets immobiliers au faux prétexte qu’il était ivre. Et encore celui où ses élus avaient quitté la séance au moment des questions écrites de l’opposition…

Malgré ses mouvements de girouette, monsieur Lansade ne trompe personne. Il reste bien ancré à l’extrême droite et sa conception de la liberté d’expression s’inspire du modèle russe  dont il vante régulièrement la chaine d’information « Russian today », comme nous l’écrivions déjà dans l’article de notre dernier bulletin d’information ci-dessous.

Démocratie à la sauce russe
  • Il s’agissait de la révision générale n° 1 du PLU sur lequel nous aurons l’occasion de revenir pour dénoncer une nouvelle fois le caractère opportuniste de cette révision destinée à favoriser de nouveaux programmes immobiliers.

APPEL AU VOTE REPUBLICAIN DE PLACE PUBLIQUE COGOLIN

Fidèle au combat qu’elle mène contre l’extrême droite, l’association citoyenne “Place Publique Cogolin” appelle clairement les électrices et électeurs  à aller voter en nombre pour les candidats républicains  lors du deuxième tour des scrutins départemental et régional. Nous devons empêcher que les idées  de repli et de haine du RN gagnent notre région. Empêcher aussi que le maire de Cogolin reproduise au niveau du département  la gestion opaque qu’il conduit depuis sept ans a Cogolin  par laquelle il bétonne la ville dans une frénésie immobilière incontrôlée et il dilapide les biens publics au bénéfice d’intérêts particuliers privés.

Un article marseillais sur le label des Marines et la gamelle de Lansade

L’information donnée dans notre précédent billet a désormais une portée régionale avec sa reprise dans l’article du quotidien la Marseillaise que nous reproduisons ici. Il faut dire que cette histoire n’est pas anodine, celle d’un maire qui attaque en justice un label architectural venu récompenser plusieurs résidences des Marines de Cogolin. C’est comme si un footballeur tirait contre son propre camp. Incompréhensible mais vrai!

Article la Marseillaise 6 février

LABEL D’ARCHITECTURE CONTEMPORAINE REMARQUABLE DES MARINES DE COGOLIN : le Maire demande son annulation et perd devant le Tribunal Administratif

C’est un bien étrange épisode judiciaire qui s’est déroulé dans la plus grande discrétion et qui vient de se dénouer par une nouvelle défaite de Marc Etienne Lansade devant les tribunaux. Une de plus qui vient s’ajouter à une série tellement longue que l’on n’arrive plus à les compter !

Rappel : Le 4 juin 2018, le Préfet de Région décide d’attribuer le label « d’architecture contemporaine remarquable » aux résidences de « la Brigantine » et de « la Galiote » des Marines de Cogolin en s’appuyant sur l’avis de la commission régionale du patrimoine et de l’architecture. Les motifs élogieux avancés pour attribuer ce classement sont nombreux : « la notoriété de la maîtrise d’œuvre et de la réalisation » ou encore « cette œuvre constituait une réponse innovante à la question des aménagements linéaires portuaires »…

Un maire soucieux des intérêts de sa commune  se serait aussitôt saisi de cette reconnaissance pour la mettre en valeur et promouvoir son image. Pas le maire de Cogolin qui a discrètement engagé un recours auprès du tribunal administratif pour demander l’annulation du classement architectural, aux frais de la commune qui plus est.

Cela parait incroyable, et pourtant c’est vrai ! Mais pour les lecteurs avertis des informations de Place Publique, cela n’est pas vraiment une surprise. Ils se souviennent surement du luxueux appartement avec piscine que la régie du port a acheté en 2018 au prix de 3,1 millions d’euros pour y installer un soit disant Yacht club. Notre association avait alors dénoncé cette dépense inutile dans un contexte financier plus qu’incertain. Deux ans plus tard, l’histoire lui donne raison puisque le lieu n’a servi qu’à accueillir des réceptions et des mariages privés avec le concours bénévole du personnel de la régie. C’est ce que l’on appelle user et abuser de biens sociaux au profit d’intérêts privés.

Préparation d’un banquet privé dans le pseudo yacht-club de la régie du port

Alors c’est vrai, le label obtenu dérangeait monsieur Lansade dans ses propres projets architecturaux pour lesquels il avait lancé un concours et attribué un marché. Encore des dizaines de milliers d’euros  jetés par les fenêtres.

Ce nouveau déboire judiciaire est un camouflet de plus pour Marc-Etienne Lansade mais aussi pour Jean-Marc Smadja qui est le véritable capitaine de la gestion désastreuse du port. Dans ses eaux troubles le directeur de la régie, monsieur Giorsetti, vient de quitter le navire en démissionnant. Monsieur Smadja lui y émarge toujours en qualité de conseiller.

Un maire ne devrait être élu que pour servir l’intérêt général. Celui de Cogolin n’a de cesse d’attaquer le cœur du patrimoine communal, de le céder, le vendre et le dénaturer pour servir des intérêts privés. Dans un contexte sanitaire qui est la préoccupation première des Cogolinois, et c’est normal, Place Publique continue et continuera à veiller à la protection des biens publics qui leur appartiennent. La prochaine cible de Marc Etienne Lansade est l’école publique Chabaud qu’il veut démolir pour construire de nouveaux projets immobiliers. Nous nous y opposerons avec la plus grande fermeté.

Les vœux du Maire maltraitent la mémoire provençale

Derrière les enluminures dorées de sa carte de vœux, Marc Etienne Lansade démontre une nouvelle fois  son grand mépris pour l’histoire. Pour commencer, il abîme le nom de l’écrivain Jean Aicard en remplaçant sa dernière lettre par un « t », confondant le père de « Maurin des Maures » avec les Dupond et Dupont. Mais il fait plus fort encore en attribuant à cet illustre romancier provençal la citation suivante  « Sous un ciel bleu de mer saturé d’air salin, le coq cher à la Gaule a créé Cogolin ». Un minimum de recherche historique lui aurait permis de vérifier  que l’auteur de ce joli quatrain est un certain Célestin Chapeau qui fut abbé de Cogolin de 1913 à 1937.

Certes, ce Maire nous a habitués à réécrire l’histoire à sa sauce. Cela avait commencé par son premier discours du 15 aout dans lequel il avait attribué le mérite du succès du débarquement en Provence à Louis XIII et la vierge Marie, effaçant de la mémoire les combattants africains dont beaucoup ont donné leurs vies pour libérer la France.

Plus localement il n’a pas hésité à débaptiser la salle d’honneur de la mairie du nom d’Héliodore Pisan, illustre peintre né à Lorgues, pour lui donner le nom d’ «Olympe» simplement parce que c’est le prénom de la fille de Marion Maréchal Le Pen. C’est sa manière à lui de « reprovençaliser » Cogolin, comme il n’a de cesse de le proclamer. On se demande comment ceux qui se disent amoureux de la Provence continuent à lui faire confiance ?

A ses actes de démolition du patrimoine culturel Marc-Etienne Lansade rajoute une entreprise de dilapidation des biens communaux qu’il cède sans retenue à des intérêts privés pour y faire fleurir des projets immobiliers. Nous y reviendrons dans un prochain billet.

ASSEMBLÉE GENERALE PAR CORRESPONDANCE DU 17 DÉCEMBRE 2020

CONVOCATION

Madame, Monsieur,

Compte-tenu des règles imposées par la situation sanitaire, nous vous invitons à participer à notre assemblée générale annuelle en votant par correspondance aux questions inscrites à son ordre du jour suivant :

  • Rapport moral du Président 2019-2020
  • Rapport d’activités 2019-2020
  • Rapport financier 2019-2020
  • Fixation du montant de la cotisation

Nous vous prions de bien vouloir remplir et nous retourner le bulletin de vote joint avant le 17 décembre dernier délai soit par courriel à placepubliquecogolin@gmail.com  soit par courrier postal à : Place Publique Cogolin, s/c Francis José-Maria, 130 avenue de la Giscle, 83310 Cogolin.

Vous pouvez nous retourner votre bulletin d’adhésion 2020-2021 complété soit par mail soit par courrier postal aux mêmes adresses.  Pour le règlement de votre adhésion de 10 €, vous avez la possibilité de nous l’envoyer soit par courrier postal avec votre bulletin d’adhésion, soit par virement bancaire en utilisant le RIB de l’association joint à la présente convocation.

Nous vous espérons en bonne forme et vous prions de recevoir, Madame, Monsieur, nos cordiales salutations.

Le Président

Rapport moral 2019-2020 Rapport d'activité 2019-2020 COMPTES 2019 2020 ( Recapitulatif) COMPTES 2019 2020 ( Recapitulatif) Bulletin d'adhésion 2020-2021 Document Vote par correspondance                                                                                                            Francis José-Maria

Hommage à la mémoire de Samuel Paty

PLACE PUBLIQUE s’associe aux hommages rendus à la mémoire de Samuel Paty, enseignant assassiné pour avoir accompli sa mission d’éducation.

Nous relayons le communiqué de presse de la Fondation du Camp des Milles qui appelle à renforcer notre détermination à vivre libres, égaux et fraternels. Nous vous invitons à activer les liens mentionnés à la fin du texte permettant d’accéder aux outils d’analyse développés par l’équipe de chercheurs pluridisciplinaires de cette Fondation qui tire les enseignements des génocides de notre histoire pour nous aider à comprendre les engrenages des peurs, des passions et des extrémismes identitaires religieux ou nationaliste qui peuvent conduire au pire. Ils donnent également des pistes de réflexion et d’action pour résister à ces engrenages. Engrenages qui avaient déjà été bien décrit au 12ième siècle par le philosophe musulman andalou Ibn Rochd de Cordoue quand il écrivait : « L’ignorance mène à la peur, la peur mène à la haine et la haine conduit à la violence. Voilà l’équation ».

LA FRANCE VISEE AU CŒUR DE SES VALEURS

« Faire de chaque horreur un point d’appui pour réapprendre la démocratie et pour renforcer notre détermination à vivre libres, égaux et fraternels. » »

La Fondation du Camp des Milles-Mémoire et Education est horrifiée par la décapitation de l’enseignant de Conflans-St Honorine. Ses pensées vont d’abord à la famille et aux proches et aux élèves de la victime, ainsi qu’au corps enseignant et à l’ensemble de notre nation encore une fois atteinte au cœur de ses valeurs.

Depuis l’assassinat des militaires et des enfants juifs à Montauban et Toulouse en 2012, la liste des cibles symboliques s’est allongée : Charlie, l’Hyper casher, des policiers, le Bataclan, le 14 juillet à Nice, le père Hamel, le colonel Beltrame, la Préfecture de police de Paris… L’extrémisme islamiste vise nos Libertés et les valeurs fondamentales de la République, et doit être combattu par l’éducation, la prévention et la sanction comme toutes les idéologies extrémistes qui dans l’histoire ont menacé la démocratie.

Sa violence peut alimenter aujourd’hui encore l’engrenage historiquement connu des peurs, des passions et des extrémismes identitaires religieux ou nationalistes, déjà enclenché en France et très largement dans le monde.

A partir d’une analyse pluridisciplinaire des expériences tragiques de l’humanité, la Fondation du Camp des Milles propose un décryptage scientifique de cet engrenage qui peut détruire les libertés, la fraternité et la paix civile.

C’est la conscience de cet enjeu majeur qui a conduit notre peuple à se rassembler et a rejeter les amalgames après les terribles attentats de 2015.

Cette résilience démocratique a permis de faire reculer, après ces attentats, et deux années de suite, l’indice AARD d’analyse et d’alerte républicaine et démocratique développé par notre Fondation Il montrait pourtant une tendance à l’augmentation continue des risques pour notre démocratie depuis 1990.

Ce recul du danger nous rappelle l’utilité de nous mobiliser et de nous unir, chacun à sa place, contre les dérives extrémistes. Car l’histoire montre que chacun peut agir, chacun peut résister, chacun à sa manière face aux idéologies et aux minorités activistes qui menacent nos valeurs démocratiques.

De son côté, la Fondation du camp des Milles agit au quotidien vers tous les publics, par la transmission et l’éducation à la citoyenneté, contre le fléau de la radicalisation identitaire dont le camp des Milles montre jusqu’où il peut conduire et par quel processus. L’expansion d’une idéologie mortifère se combat d’abord par une éducation courageuse et tenace.

Faisons de chaque horreur un point d’appui pour réapprendre une démocratie qui n’est plus connue ni reconnue par tous et pour renforcer notre détermination à vivre libres, égaux et fraternels.

Une initiative forte sera proposée à la rentrée par la Fondation du Camp des Milles à la communauté enseignante douloureusement frappée.

Lors d’une cérémonie au Camp des Milles, Denise Toros Marter soulignait récemment avec force « Apprenez à vos fils ce qu’est la tolérance, afin que l’Autre aussi jouisse de sa vie ». Aujourd’hui, l’exhortation de l’ancienne déportée à Auschwitz prend tout son sens.

La Fondation rappelle qu’elle met à disposition de certains de ses outils d’analyse, en accès libre :

Un schéma interactif pour comprendre les engrenages vers le pire

Un Petit Manuel de survie démocratique

Notre Indice d’analyse et d’alerte républicaine et démocratique (AARD), outil précieux pour mesurer les risques que court notre démocratie.

 

Les aboiements et souffrances de Ninja s’achèvent, les problèmes de sécurité demeurent

Dans un long communiqué alambiqué, la première adjointe chargée de la sécurité, madame Rondini-Gilly, vient d’annoncer la décision de se séparer du chien d’une brigade qui n’avait de cynophile que le nom. « Ninja a rencontré les plus grandes difficultés à s’adapter » écrit-elle, ou encore « nous l’avons confié à plusieurs spécialistes afin de lui permettre de trouver un équilibre et de s’épanouir… en vain » et enfin « le bien être de notre compagnon policier a primé dans notre décision ».  Qu’à demi-mots tout cela est dit pour avouer que Ninja était en réelle souffrance !

Au-delà de la tranquillité retrouvée pour les habitants des quartiers voisins du poste de police, nous sommes surtout soulagés pour ce pauvre malinois qui a hurlé son désespoir nuit et jour pendant trois mois. Trois longs mois pour que madame sécurité s’en rende compte ! Trois longs mois sans la moindre réaction de l’élu chargé de la cause animale !

Politique spectacle et improvisation

Une fois encore les effets d’annonce et l’improvisation l’ont emporté sur la rigueur et le professionnalisme. Pour faire croire qu’il était à la pointe des moyens sécuritaires, le candidat Lansade n’avait pas hésité à promettre la création d’une brigade cynophile, rien que çà ! La grandiloquence de son propos s’est vite dégonflée à l’épreuve de la réalité, car en l’absence de véritable maitre-chien, Ninja ne pouvait accomplir les missions que l’on prétendait vouloir lui assigner. Le pauvre animal a été sacrifié sur l’autel de la politique spectacle mise en scène par le maire depuis plus de six ans.

Comment ne pas se rappeler des recrutements massifs de policiers municipaux, dont plusieurs ont été révoqués, et qui coutent deux millions d’euros de plus par an aux cogolinois ! Comment ne pas se souvenir des annonces toujours aussi tonitruantes de l’installation de nombreuses caméras de vidéosurveillance, très couteuses elles aussi, pour apprendre vers la fin du mandat qu’elles n’avaient jamais fonctionné !

Sans parler du poste de police ouvert à grand frais à la Cauquière « pour mettre le chat dans la souricière », avait alors déclaré le Maire. Le félin n’aura pas eu plus de succès que son collègue  canin puisque le poste de la Cauquière vient de fermer ses portes.

La sécurité est une affaire trop sérieuse pour la réduire à une politique du nombre dont l’efficacité n’est jamais évaluée, comme le font le maire et sa première adjointe.

Une politique inefficace et inquiétante pour les finances

Peu importent tous ces échecs à leurs yeux, la fuite en avant sécuritaire est leur seule réponse : puisque le recrutement d’un chien malinois mordeur a échoué, recrutons un maître-chien !  C’est la politique de Gribouille. Cela n’est pas sérieux et va alourdir des dépenses de personnel déjà inflationnistes dans un contexte budgétaire difficile, c’est la maire qui le dit. Certes, la crise sanitaire n’a pas arrangé les choses, mais cette situation délicate est principalement due à la gestion aventureuse des six années de mandat de M. Lansade que nous avons inlassablement dénoncée : des recettes fondées sur les cessions du patrimoine immobilier hasardeuses et  certaines manquées en raison de l’impréparation voire de l’illégalité de certains projets, des dépenses de personnel, d’animation et de communication en forte augmentation.

Cette affaire Ninja n’est pas seulement celle d’un chien sans maître, elle est l’illustration d’une politique spectacle sans résultats mais avec des dégâts… La sécurité des Cogolinois n’attend pas le recrutement d’un maître-chien mais des élus responsables !