[embedyt]https://www.youtube.com/watch?v=VjC58Rm1Ffo[/embedyt]
[embedyt]https://www.youtube.com/watch?v=ZFxThXLMPvg[/embedyt]
[embedyt]https://www.youtube.com/watch?v=VjC58Rm1Ffo[/embedyt]
[embedyt]https://www.youtube.com/watch?v=ZFxThXLMPvg[/embedyt]
Conférence de presse du 5 février 2017 à Lyon
En marge du meeting de Marine Le Pen qui s’est tenu le 5 février 2017 à Lyon, la Coordination Nationale des Collectifs Citoyens (1), l’Union des Etudiants Juifs de France et SOS Racisme ont organisé une conférence de presse destinée à présenter la campagne nationale d’information « #LEFNCONTRELEPEUPLE » qui va se dérouler tout au long des mois qui viennent jusqu’aux élections présidentielles et législatives.
Objectif prioritaire et salutaire de cette campagne : démontrer à travers les décisions et mesures bien réelles prises par les élus FN dans les 11 communes qu’ils administrent depuis 2014 que ce parti d’extrême droite AGIT CONTRE LE PEUPLE contrairement à sa propagande mensongère.
Cette campagne est également destinée à mettre au grand jour l’imposture du message porté par Marine Le Pen selon lequel les municipalités FN géreraient bien les communes. Les témoignages des collectifs citoyens créés dans ces villes prouvent qu’une fois au pouvoir, ce parti remet en cause des libertés fondamentales, stigmatise et discrimine ses administrés et gère les affaires publiques de façon catastrophique. Loin de l’apaisement prétendument affiché, c’est un véritable climat de méfiance et de tension qui s’est installé dans les villes administrées par le FN. Les discours officiels sur la rigueur et l’exemplarité sont anéantis à l’épreuve de la réalité de la gestion calamiteuse des maires FN où se disputent l’incompétence, l’affairisme, le copinage, la fuite en avant financière, la dilapidation du patrimoine public, l’autoritarisme, l’opacité et l’absence totale de concertation…
Sur le terrain, le Front National agit contre le peuple. Il en ferait de même au niveau national !
(1) Les associations composant la coordination nationale des collectifs citoyens sont :
Associations locales : CRIC – Mantes la Ville ; Ensemble pour Le Luc – Le Luc-en-Provence ;
Forum Républicain – Fréjus ; Hayange Plus Belle Ma Ville – Hayange ; Place Publique – Cogolin ;
Rassemblement Citoyen de Beaucaire ; Union Citoyenne Humaniste Jean Moulin – Béziers
Associations nationales : L’Union des Etudiants Juifs de France ; SOS Racisme – Touche Pas A Mon Pote
Images et Pdf complémentaires :
– article-du-11-janvier-2017-pdf.20170117.pdf
A la suite de la publication de nos différents articles sur la nomination de Julien Langella (Bloc identitaire) à la communication de la mairie de Cogolin, un de nos lecteurs (ils sont de plus en plus nombreux) nous envoie la devinette suivante :
Question : Savez-vous comment s’appelle la mairie en Allemagne ?
Réponse : RATHAUS
Question : Savez-vous comment s’appelle désormais la mairie de Cogolin ?
Réponse : BLOC-HAUS
Le maire de Cogolin dit avoir recruté comme chargé de communication de notre ville,Julien LANGELLA ,membre du BLOC GENERATION IDENTITAIRE pour ses « qualités professionnelles »… Il est pour le moins troublant de constater que plusieurs membres de ce groupe extrémiste viennent d’être recrutés dans la même spécialité de communication et dans plusieurs villes tenues par la FRONT NATIONAL. Cela s’appelle de l’entrisme et il ne s’agit plus de juger les qualités professionnelles d’une personne seule mais de favoriser un groupe à raison de son idéologie.
Ainsi donc à BEZIERS, ville dont le maire est soutenu par le FN, ce sont deux membres du BLOC qui ont effectué la communication de la campagne.
Le co-prévenu (c’est-à-dire mis en examen judiciaire dans la même affaire) de Julien LANGELLA, qui s’appelle Damien RIEU, leader de GENERATION IDENTITAIRE, vient d’être embauché par le maire FN de BEAUCAIRE pour s’occuper de la communication de la ville.Cet élu défend sa nouvelle recrue avec les mêmes mots que ceux employés par le maire de COGOLIN pour LANGELLA : « M RIEU avait un CV meilleur que les autres. ».
Comme c’est bizarre, comme c’est étrange : ainsi donc les militants du BLOC seraient meilleurs communicants que les autres candidats ?? La véritable question à poser est : « Y a-t-il eu mise en concurrence de candidats ou choix souverain du Maire ?? »
Le chef de cabinet de Marine LE PEN a lui aussi recruté un « identitaire » pour sa tentative d’élection à PARIS.
Les « IDENTITAIRES » et les élus FN tissent leur toile là où le FN est au pouvoir.
Nous ne pouvons pas croire que M. LANGELLA n’a été recruté que pour ses qualités professionnelles.
Si la communication de COGOLIN est faite par le BLOC, il faut dorénavant la mettre en doute et cela s’appelle de la suspicion légitime.
En effet la théorie soutenue par le BLOC est qu’une substitution de population est à l’œuvre ; qu’une immigration de peuplement remplace progressivement la population française d’origine, avec la bénédiction du « pouvoir remplaciste ». Cette théorie divise au cœur même du FRONT NATIONAL entre les tenants de Marine LE PEN (moins favorables à cette théorie) et ceux de son père Jean Marie LE PEN qui lui est très favorable.
Et comme M LANSADE parait être un proche du père, puisqu’il était récemment à ses côtés à Marseille lorsque celui-ci a dit que le virus EBOLA allait résoudre les questions de l’immigration, tout laisse à croire que le maire de Cogolin est favorable aux théories du BLOC et que le recrutement de Julien LANGELLA ne procède que d’un fondement idéologique. Il ne nous dit pas la vérité quand il affirme qu’il l’a embauché pour son professionnalisme : Il faut que le maire de Cogolin reprenne toute la procédure d’embauche d’un communicant.
NON,COGOLIN ne doit pas être un laboratoire pour les théories de GENERATION IDENTITAIRE.
NON, COGOLIN ne sera pas au BLOC !!!
Source : Le Monde 13 Novembre 2014
Après le premier adjoint, Monsieur Masson qui a été révoqué de la Police municipale de Cannes et attend l’examen de son cas par le Tribunal Administratif, voici le chargé de communication, Julien Langella mis en examen et sous contrôle judiciaire…
Certes, une mise en examen ne préjuge pas de la culpabilité mais il demeure que le juge d’instruction a déterminé des indices graves, sérieux et concordants pour mettre M Langella en examen et les qualifications sont particulièrement sévères « provocation publique à la discrimination,haine raciale »
Certes, ces qualifications sont contestées par les avocats des mis en examen mais n’aurait il pas été prudent d’épargner à Cogolin de recruter un mis en examen et de plus sur ces motifs ? En outre à qui fera t on croire, comme veut le faire Monsieur Le Maire, que les qualités de graphiste de Monsieur Langella sont si remarquables qu’il a fallu le recruter lui, particulièrement…
Et au fait… quelle a été la procédure de recrutement de Monsieur Langella ?
Y a-t-il eu appel à candidatures ?
A-t-on demandé si des Cogolinois pouvaient prétendre à ce poste ?
Quel est le support contractuel du poste de M Langella ?
Comment est-il rémunéré ?
Quelles sont ses obligations de contrôle judiciaire qui pourraient l’empêcher d’exercer normalement ses fonctions ?
Trop de questions sans réponse et enfin comment peut on, lorsqu’on est un maire et donc garant des valeurs républicaines, affirmer publiquement et dans la presse que l’on est en plein accord dans sa politique locale avec les idées du bloc Identitaire ?
Non, la mairie de Cogolin ne peut pas devenir le refuge de gens en attente de jugement… ! Les Cogolinois méritent mieux.
Notes de Lecture :
– Article Var Matin : http://goo.gl/z7zIEK
Même si cela n’est pas officiellement annoncé, le nouveau responsable de la communication de Cogolin vient d’être choisi par le maire. Il a fait son apparition au tout dernier conseil municipal caméra au poing. Il s’appelle Julien Langella, il a 25 ans, et fait partie du mouvement extrémiste « Génération Identitaire » dont l’un des slogans favoris est « 732, souviens-toi de Charles Martel » (qui a stoppé les Sarrazins à Poitiers). Autant dire que la communication de notre ville s’apprête à faire un grand bond de 1 300 ans… en arrière.
Après un maire inconnu venu de Neuilly, un premier adjoint révoqué de la police municipale cannoise, un directeur de cabinet parisien, un conseiller en urbanisme issu du clan Balkany, une société de communication du QG de Marine Le Pen, voici un chargé de communication fiché à la DCRI pour activisme d’extrême droite et hooliganisme… Ce n’est pas vraiment la « reprovençalisation » annoncée qui est en marche, mais bien la machine de guerre de Marine Le Pen qui tisse sa toile à Cogolin, loin des intérêts de ses habitants. Le véritable intérêt des Cogolinois serait de se réveiller tant qu’il en est encore temps !
Notes de Lecture :
– Article des Inrocks : http://goo.gl/VNUJHs
– Article de Europe1 : http://goo.gl/7mR0VP
La dernière séance du conseil municipal du 29 septembre 2014 s’est déroulée sous les objectifs de deux caméras qui n’ont semblé étonner ni les conseillers, ni le public présents. Le maire n’a donné aucune information préalable sur ce tournage et les élus de l’opposition n’ont pas posé la moindre question.
Certes, filmer un conseil municipal est tout à fait légal. Mais il aurait été intéressant de demander au maire à qui ou à quoi était destiné ce tournage ? D’où venait l’équipe qui le réalisait ? Quel était le coût de cette prestation ? Faisait-elle l’objet d’un marché public ? D’un appel d’offres ?…
Pourtant, avec un peu de curiosité, il était possible de trouver quelques éléments de réponses sur le parking extérieur à la salle du conseil où stationnait le véhicule d’une société de communication parisienne dénommée « STREAM ON FIRE ». Et en y regardant d’encore plus près, on aurait découvert que c’était son directeur en personne, Christophe Boucher, qui était aux manettes des caméras.
Bien sûr, son nom et celui de sa société ne vous disent rien. Pour en savoir un peu plus, nous vous conseillons de lire l’enquête menée par le journal Marianne sur le lien : http://www.marianne.net/Dans-le-QG-secret-de-Marine-Le-Pen_a239850.html
On y apprend que Christophe Boucher fait partie du « QG secret de Marine Le Pen » qui s’est installé au 27 de la rue des Vignes, dans le XVIième arrondissement de Paris pour préparer les élections présidentielles de 2017. Cette garde rapprochée est composée d’autres chefs d’entreprises :
– Minh Tran Long : ancien légionnaire, ancien militant d’un groupuscule néonazi dissous, il dirige la société d’événementiel « La Patrouille de l’événement » créée le 25 avril 2014 et qui vient d’installer une succursale à Fréjus.
– Axel Loustau dirige une SCI créée en juillet 2013 dont le siège se trouve à la même adresse que le QG de Marine. Il gère aussi une société de sécurité, « Vendôme Sécurité », qui a travaillé à de nombreuses reprises pour le FN. Ancien membre du GUD (groupe d’étudiants d’extrême droite) il est aussi le trésorier de « Jeanne », le micro parti créé par Marine Le Pen qui fait l’objet d’une information judiciaire pour « fraude en bande organisée » et « faux et usage de faux ».
– Fréderic Chatillon est à la tête de l’agence de communication RIWAL, principal prestataire du Front National et de « Jeanne ». Une des filiales de son agence apporte ses conseils au régime Syrien de Bachar al-Assad. Ex leader du GUD, Chatillon semble être aux commandes de cette « pépinière mariniste où se mêlent amitiés, stratégies politiques et business juteux ».
L’installation de Minh Tran Long à Fréjus et l’apparition de Chritophe Boucher à Cogolin montrent clairement que Marine le Pen veut faire du Var un avant-poste de sa bataille présidentielle, avec « la tête haute et les mains propres », bien sûr !
Images et Pdf complémentaires :
– Streamonfire.pdf